Ma conversion à l’Islam : le meilleur choix de ma vie. (partie 2)

As salam aleykoum wa raHmatoullahi wa barakâtou mes soeurs,

Dans cet article, je vous dévoile les témoignages de sœurs musulmanes quant à leur conversion à l’Islam

Je ne reprends alors que leur histoire, dites de manière naturelle, de la plus simple des façons destinées à toutes les nouvelles converties ou aux femmes qui s’intéressent de près à l’Islam.

Qu'Allah vous facilite, amîne.

Histoire n°5 : La première fois que j'ai posé mon front sur le sol, par Allah que mes crises d'angoisse ont disparu.”

“J'ai connu mon mari en 2010, lui musulman et moi croyante mais plutôt chrétienne de par les traditions et les croyances de ma famille.

En 2013, je me fais baptiser protestante dans l'église que fréquente ma grand-mère. J'ai un passe-droit car ma grand-mère est l'une des plus anciennes personnes de cette église, ce qui me permet de ne pas assister au catéchisme et de prendre des petits cours individuels par-ci par-là.

Je n'étais pas convaincue par le pasteur mais je n'osais pas me l'avouer. Ma peur de la mort me faisait penser que je serai protégée en cas de décès soudain. C'était ma principale "motivation".

Les années passent et en 2017 nous franchissons le pas du mariage religieux lors d'un de vos voyages. C'était un moment très simple, sans fioritures, juste la présence d'une dizaine de personnes, de l'imam et ensuite un petit repas. Al hamduliLlah je comprends seulement plus tard que c'est ce type de mariage qui plaît à Allah.

Les années passent, nous souhaitons fonder une famille dans la logique de la vie. Je tombe enceinte assez rapidement, en novembre 2016 mais cette première grossesse se termine en fausse couche. C'était extrêmement difficile, c'est celle que j'ai le moins bien vécu. Tous les espoirs s'effondrent, j'étais abattue. Je ne parlerai que de celle-ci en détail car c'était la plus compliquée, sur les 6 que j'ai vécu, pour mon mari et moi à gérer. 

Octobre 2020, nous sommes en période de confinement, j'ai besoin de partir à l'étranger. Mon domaine de travail me le permettant, je passe avec succès un entretien pour une mission au Burkina Faso. Seulement voilà, la veille de la réponse positive j'apprends que je suis enceinte à nouveau. Avec mon mari nous pensons que vu mes antécédents, cette grossesse a plus de probabilités de se terminer en fausse couche à nouveau plutôt que d'aboutir. Je décide donc de partir en mission. 

Les premières semaines sont angoissantes, je consulte un échographe en urgence à cause de saignements. Il me dit que j'ai un hématome mais que bébé va bien, il bouge beaucoup. Je pleure de joie ! Quel soulagement ! 

Les semaines passent, nous arrivons au 6e mois de grossesse. Je ne le savais pas à l'époque mais Allah va nous guider tout le long des épreuves qui s'apprêtent à arriver. Mon mari m'appelle et me dit qu'il a été licencié de son travail, il est énervé et moi je lui réponds que je suis soulagée car il travaillait de nuit. Je me dis que ce sera plus simple pour s'occuper du petit.

Je suis au travail, mon collègue juste en-dessous de moi hiérarchiquement revient de vacances. Je me dis qu'il faut absolument que je lui montre ce qu'il faut remplir comme documents chaque mois et le travail que je fais moi-même. Je commence à avoir des petites douleurs en bas du dos. Je me dis que pour être rassurée je vais aller au centre médical. 

Une docteure me reçoit et me dit qu'il serait bien que j'aille faire une échographie. J'y vais assez rapidement et l'échographe me dit que mon col est raccourci à 13 mm (au lieu de 35 minimum à ce stade de la grossesse) et que j'ai des contractions que je ne sens pas. Je suis hospitalisée et mise sous perfusion pour arrêter les contractions.

Au bout de 2 jours ça va mieux, je fais à nouveau un contrôle et mon col est à 33 mm. Un grand soulagement, je vais pouvoir rentrer chez moi et accoucher dans mon pays, les billets d'avion sont pris pour la semaine d'après. 

Je rentre dans mon logement au Burkina Faso pour préparer mes affaires, mais voilà que le soir je ressens une gêne respiratoire. C'est inquiétant, je retourne donc consulter et on me dit que ma saturation n'est pas bonne. Je suis mise sous oxygène et je reste hospitalisée. La date de mon retour à la maison, en Europe, est sans cesse repoussée pour multiples raisons : le besoin d'avoir un personnel du Burkina Faso qui voyage avec moi mais personne n'est disponible, la réservation d'un billet en classe économique au lieu de business, le besoin d'une chaise roulante que l'on doit manifester à la compagnie aérienne deux jours avant le voyage (c'était la veille), le problème de la bonbonne d'oxygène. C'est comme si l'univers ne voulait pas que je rentre. 

Quelques jours passent et ma situation stagne voire s'empire. Je vais faire un scanner des poumons pour connaître la source de cette douleur. Le verdict tombe, j'ai de l'eau dans les poumons (donc une infection) et je dois être mise sous antibiotiques. Je suis à nouveau soulagée car je sais ce que j'ai. 

Le pneumologue me dit que vu que je rentre bientôt chez moi je n'ai pas à faire de ponction du liquide pour l'analyser et j'ai donc un antibiotique à large spectre. Mais je m'inquiète car je ne sens plus le bébé bouger depuis 3 heures. Je me dis que ça va aller qu'il doit être en train de se reposer lui aussi. 

Je suis épuisée, je décide de faire une sieste. Soudain, un gros vertige, je sens que ça coule entre mes jambes. C'est du sang. Affolée, j'appelle la docteure en pleures. Elle commence à prier à côté de moi. J'ai très très peur. Je sens que ça continue de couler encore et encore. Je lui demande si c'est encore du sang, elle me dit non ce n'est pas du sang. Elle ne le dit pas mais je comprends que je suis en train de perdre les eaux à 30 semaines et 1 jour de grossesse. 

Tout s'enchaîne assez rapidement, je vais faire une échographie en urgence : j'ai un hématome rétro-placentaire, j'en suis au stade avant la mort fœtale. Le cœur du bébé bat toujours al hamduliLlah mais nous sommes en urgence vitale tous les deux. 

Je suis transférée dans une clinique avec une néonatalogie pour me faire opérer d'urgence et sortir le bébé. Mon mari est en Europe, il venait de repartir après avoir passé 1 mois avec moi. Il est inconsolable, moi je suis entourée et plutôt sereine. En plus de cette urgence vitale j'ai une prééclampsie. Le bébé est encore plus en danger. 

Je me fais opérer, mon bébé est mis en couveuse, il respire seul à la naissance al HamduliLlah mais a bien entendu besoin d'assistance. 

Les jours suivant la césarienne sont très très longs. L'assurance tarde à me donner une réponse pour notre rapatriement, ma tension est très élevée (18/10). 

Après 8 jours d'attente nous sommes rapatriés en avion médicalisé dans une toute nouvelle néonatologie. Nous restons 2 mois et demi avec notre bébé, 24/24, 7/7.

Nous nous habituons à cette nouvelle vie à 3 mais depuis l'accouchement et même un peu avant, j'ai des crises d'angoisse très fréquentes. Entre 2 et 3 par jour. Je suis épuisée, ça ne s'arrête pas malgré les consultations psychologiques et psychiatriques. 

Je m'intéresse de plus en plus à l'islam, je lis beaucoup de hadiths, beaucoup d'extraits du Coran. Un jour, je lis cette phrase :"lorsqu'Allah veut te rapprocher de Lui, Il t'éprouve". Des frissons parcourent mon corps, j'ai les larmes aux yeux. Je vais voir mon mari et je lui dis : “c'est aujourd'hui, je veux me convertir maintenant”. Je prononce ma shahada, je suis émue au plus haut point. Je ressens un poids qui s'enlève. Al HamduliLlah, Allah guide qui Il veut. 

Je n'avais pas encore commencé à prier. Je savais que je devais le faire, je me sentais mal de ne pas prier. Puis un jour une sœur m'offre un livre qui détaille les étapes de la prière. Je note, j'apprends, je me dis que c'est le moment je n'en ai pas seulement envie mais besoin. 

Ma prière préférée est celle de maghrib. C'était ma première prière, celle qui m'a soignée. La première fois que j'ai posé mon front sur le sol, par Allah que mes crises d'angoisse ont disparu. Allahou Akbar !


J'en ai pleuré et pleuré. Un poids, un fardeau de la taille d'une montagne qui disparaît ! Je comprends pourquoi je suis passée par toutes ces épreuves, celles qui m'ont amenées à me convertir et à me soumettre entièrement à Allah azzawajel. Cela fait maintenant 1 an que je prie, j'ai dû faire en tout un ou deux épisodes d'angoisse sans parler de crises. Al HamduliLlah (notre bébé est en pleine forme al HamduliLlah il a 2 ans et 4 mois).”

Histoire n°6 : “Je me suis convertie à l’âge de 12 ans.”

“Je suis française de mes deux parents. J’ai grandi dans une famille chrétienne et athée. A l’époque ma mère était chrétienne ainsi que ses parents, mon père lui n’a jamais reçu d’éducation religieuse. Mes parents ont fait le choix de ne pas nous baptiser car ils n’étaient pas pratiquants.

J’ai eu une enfance assez difficile mais Al HamduLilah je ne me plains pas car j’ai quand même eu de très bons moments. J’étais une enfant assez solitaire, toujours dans son coin et surtout très curieuse, je me posais beaucoup de questions sur la terre, la création, les animaux, alors très rapidement je me suis mise à questionner ma mère sur cela et elle me répondait souvent que ceci était la création de Jésus mais à part ça ma mère ne parlait très rarement de la religion, nous n’avons vraiment pas eu d’éducation religieuse.

Ma mère nous faisait faire à moi et mon petit frère des aumônes, que ce soit donner à manger à un sans abri dehors ou de l’argent et elle nous disait qu'en faisant cela nous serions récompensés plus tard et qu’il fallait toujours aider son prochain.

Suite à cela, j’ai commencé à me poser beaucoup de questions, en faisant cette action, qui sera satisfait de moi ? Ma mère ou Jésus ? Pourquoi je suis en vie ? Quel est mon but sur cette terre ?

Je venais tout juste d’entrer en 6eme et j’avais eu pour Noël une tablette car je n’avais pas de téléphone portable, je me suis alors mise à faire mes propres recherches sur internet en ce qui concerne la religion chrétienne, qui est Jésus, comment l’adorer, dans quel but m’a t-il créé et j’en passe…

Mais un jour alors que j’étais sur YouTube pour chercher une explication de la prière dans la religion chrétienne je suis tombé sur une vidéo «  les miracles du Qu’ran » je sais pas pourquoi mais cette vidéo m’a attiré et j’ai cliqué dessus, si je ne me trompe pas la vidéo durait à peu près entre 15 et 25 min.

Je l’ai regardé jusqu’au bout et je me souviens qu’à la fin de la vidéo j’étais vraiment toute retournée, je savais pas quoi en penser mais je me sentais apaisée, comme si je venais d’entrer dans le chemin de la vérité.

Je me suis mise à défiler les vidéos sur les miracles du Qu’ran puis ensuite des vidéos d’anasheed, des récitations du Qu’ran, des témoignages de personnes converties à l’Islam, des rappels..

Je me sentais vraiment légère après tout ça, j’ai continué mes recherches pendant 2 mois à peu près puis un jour je me suis réveillée et je me suis dis que c’était aujourd’hui que je devais prononcer l’attestation de foi, que j’avais eu ce signe de mon Créateur et que je ne pouvais pas l’ignorer.

J’avais peur de mourir avant de réciter la Chahada, alors ce jour-là j'ai décidé de réciter l’attestation de foi. C’est comme cela que je me suis convertie à l’âge de 12 ans.

Mes amies ne me comprenaient pas vraiment et pensait que c’était un choix que j’avais pris sur le coup, que je ne resterais pas musulmane et que j’allais finir par m’en passer, mais moi j’étais certaine de mon choix et je savais que j’avais besoin de mon Créateur pour vivre ma vie et que je ne pouvais pas faire sans lui.

Par la suite j’ai déménagé, je suis rentrée en 5eme et c’est là que les problèmes ont commencer, je ne vais pas rentrer dans les détails mais au collège j’ai eu quelques problèmes avec la directrice qui pensait que j’avais subi un lavage de cerveau dû à mon jeune âge, elle a alors convoqué mes parents et leurs a dit que j’étais musulmane, que j’avais sûrement du recevoir un lavage de cerveau par certaines personnes, que mes notes étaient en baisse( mes notes étaient en baisse à ce moment là car dans ma famille rien n’allait, il y avait beaucoup de problèmes, ce n’était absolument pas en rapport avec l’Islam).

J’ai essayé de parler à mes parents mais ils ont rien voulu savoir, ma mère ne comprenait pas pourquoi j’étais autant attirée par l’Islam et elle était contre. Mon père a eu une réaction assez colérique et mes frères et sœurs s’amusaient à me lancer des piques car à ce moment-là on ne s'entendait pas du tout.

Alors mes parents m’ont enlevé mon téléphone pendant presque un an, m’ont interdit de voir mes amis car certaines étaient musulmanes, me forçaient à manger du porc, me surveillaient dans tout ce que je faisais, ma mère fouillait régulièrement ma chambre et ne me parlait presque plus.

C’était très dur mentalement et ça a duré comme ça pendant 2 ans.

Je pratiquais en cachette, j’essayais de faire le maximum de jour de ramadan que je pouvais mais c’était assez compliqué, pareil pour la viande je trouvais toujours une excuse et ma mère me menaçait souvent en me disant que si je retournais dans l’Islam elle me renierait.

J’ai passé 2-3 ans à pratiquer en cachette, les tensions n’étaient plus là car ils pensaient que j’avais abandonné l’Islam jusqu’au jour ou j’ai oublié de me déconnecter de mon Facebook et ma sœur est tombé dessus, elle a lu les conversations que j’avais eu avec des sœurs puis elle l’a dit à mes parents.

Puis tout à recommencer comme la première fois mais en pire, je n’avais vraiment plus le droit de rien faire, c’était des menaces, rabaissement, des piques chaque jours.

Je me posais beaucoup de questions et je ne savais pas quoi faire, est ce que je devais abandonner ? J’étais perdue, je pensais que ma famille n’allait jamais tolérer l’Islam et qu’un jour ou l’autre je devrais faire un choix entre eux et ma religion.

Mais mon grand-père est décédé, je l’ai pris vraiment comme un signe d’Allah.

Tout allait au plus mal et al HamduLilah sa mort m’a permis de me rendre compte que les épreuves que je vivais ici bas n’était vraiment rien et que je le faisais pour Allah, pour obtenir le Paradis et qu’en plaçant ma confiance en Lui et en patientant Il allait me faciliter un jour ou l’autre. Donc j’ai continué à pratiquer en cachette pendant encore 3 ans à peu près. Je cachais mes livres et mes voiles dans le casier de mon lycée, quand je devais les laver j’allais dans une laverie.

Quand j’avais envie de lire un livre je le prenais avec moi et je le cachais dans une valise que j’avais dans ma chambre, je laissais le livre par plus de 2j car ma mère fouillait régulièrement ma chambre.

Jusqu’au jour...

Je me souviens j’avais 18 ans, je passais mon BAC et je travaillais dans une maison de retraite, ce jour là je suis rentrée et j’ai vu ma mère dans la cuisine.

A peine je suis rentrée qu’elle m’a dit qu’elle avait trouvé mon livre sur Aisha, un niqab et le Qu’ran, je ne pouvais plus nier alors je lui ai dis la vérité, que je n’avais jamais vraiment quitté l’Islam depuis le collège mais que j’avais peur de ses réactions car elles étaient excessives.

On a eu une longue discussion, elle m’a dit qu’elle n’appréciait pas l’Islam, que ce n’était pas cohérent avec nos valeurs et la façon dont on a été éduqués mais qu’elle ne pouvait plus me l’interdire car j’étais majeure et que dans tout les cas j’allais le faire dans leur dos.

Alors depuis ce jour les choses se sont améliorées de jour en jour même si au début il y avait beaucoup de disputes.

Maintenant je peux sortir voilée avec ma mère, toute ma famille mange halal, ils sont assez ouverts sauf mon père qui ne s’est jamais vraiment fait une raison..

Kheir In shaa Allah

Ma mère me dit souvent que l’Islam m’a fait changer positivement dans mon comportement, que je me suis assagis. Je prends ça comme une victoire même si parfois ça reste compliqué et que les disputes sont encore présentes.

Les épreuves viennent d’Allah, il faut patienter tout comme l’ont fait les compagnons.

Notre seul but sur Terre est d’adorer Allah et de patienter même si cela est dur.

Allah est toujours avec nous et Il répond toujours à nos invocations.

Ce que je conseille à mes sœurs fi Allah :

Soyez patientes et endurantes et n’abandonnez pas.

Ne pensez pas que votre famille ne sera jamais guidée ou bien qu’ils n’accepteront jamais. 

Vous devez placez votre confiance en Allah et ne pas perdre espoir.

Communiquez avec votre famille, je vous encourage à expliquer les principes de l'Islam à votre famille de manière informative et respectueuse, en soulignant les similitudes entre les valeurs islamiques et celles de votre famille.

Montrez l'exemple en vivant la foi de manière positive, adoptez toujours un bon comportement avec eux même si eux se comportent mal avec vous.

Invoquez beaucoup Allah et ne désespérez pas de sa miséricorde.”

Histoire n°7 : “  je ne me sentais pas à l’aise au sein de cette religion.”

“J’ai vécu dans une famille ou la religion du christianisme m’a été inculquée depuis petite. En vivant une période assez difficile, j’ai essayé de me retrouver dedans en allant à l’église, en lisant la bible… mais malheureusement je n’ai jamais trouvé ma place, je ne me sentais pas à l’aise au sein de cette religion et je ne trouvais pas ma place.

J’ai alors commencé à me renseigner sur toutes les religions, et l’Islam a retenu mon cœur, je m’intéressais déjà à l’Islam depuis très longtemps mais je ne m’étais jamais renseignée réellement…

J’ai alors commencé à regarder des témoignages, à lire des livres et surtout à en parler à mes amies. Après 4 ans de réflexions j’ai enfin sauté le pas et Al Hamdoulillah je me suis convertie.

Malheureusement je n’ai toujours pas eu le courage de le dire à ma famille puisqu’ils ne l’accepteront pas car ils ont une mauvaise vision de l’Islam…. Ce n’est pas toujours facile, j’ai beaucoup de baisse de foi qui ne sont pas toujours simples à surmonter mais j’essaye. 

Je me sens assez seule car je n’ai pas beaucoup de personnes musulmanes dans mon entourage mais j’essaye de faire au mieux.

Mais Al Hamdoulillah de me tourner vers Allah a été le meilleur choix de toute ma vie, j’espère un jour inshAllah l’annoncer à mes proches et qu’ils l’acceptent.

Je sais que beaucoup de personnes converties sont dans mon cas et qu’Allah nous facilite, merci à vous de partager et de prendre le temps de lire tous les témoignages, qu’Allah vous préserve”

En espérant vous avoir aider dans votre parcours religieux. Qu’Allah vous guide vers le chemin de l’islam, amîne.

Merci pour ta lecture, 

Baraka Allah oufik.

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